Energie solaire : ce qu’il faut retenir du rapport GIEC 2022
Le 4 avril dernier était publié le troisième et dernier volet du 6ème rapport du GIEC. Dédié au réchauffement climatique, il tire la sonnette d’alarme depuis plusieurs années sur les conséquences de l’activité humaine sur l’environnement et les populations. L’édition 2022 présente les données les plus récentes et avancées dans la lutte contre le dérèglement climatique. TRYBA ENERGY vous explique les principales informations à retenir.
Rapport du GIEC : de quoi parle-t-on ?
Acronyme de Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, le GIEC a été fondé en 1988 dans le but de réunir toutes les connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques au sujet des changements climatiques.
Association de pays (195 États au total), le GIEC récolte, évalue et synthétise les travaux menés par des scientifiques du monde entier au sujet de l’urgence climatique. Son travail colossal ne s’arrête pas là, le GIEC formule des recommandations concrètes depuis la diffusion de son premier rapport.
Quelles sont les conclusions du rapport GIEC 2022 ?
Le troisième rapport du GIEC 2002 est aussi clair que les précédents. Il est vital de :
- Prioriser la sobriété énergétique ;
Malgré la réticence des pouvoirs publics sur ce point de sobriété énergétique, il est prouvé que diminuer la consommation de viande, isoler les bâtiments, opter davantage pour le télétravail et utiliser des moyens de transport moins polluants sont des actions majeures à mener pour lutter à grande échelle contre le réchauffement climatique.
- Sortir définitivement des énergies fossiles ;
En remplaçant les ressources fossiles par des énergies renouvelables telles que l’éolien, le solaire ou encore l’hydraulique, la production d’énergie nécessaire aux pays serait possible ! L’une des solutions étant de choisir un mix entre énergie solaire et nucléaire comme le soulignait dernièrement RTE (Réseau de Transport d’Electricité français).
- Avantager le financement de la transition écologique ;
Bien que la transition écologique soit très onéreuse, les capitaux essentiels pour la financer existent ! Pour ce faire, le GIEC préconise d’augmenter au minimum de 3 à 6 fois l’argent investi dans cette transition écologique. À condition que les banques et les États arrêtent définitivement de financer les énergies fossiles via des fonds publics et privés.
- Capter les émissions de carbone.
Les forêts et les océans sont des puits de carbone naturels qui permettent de supprimer les émissions de CO2 dans l’atmosphère. N’étant plus suffisants à cause de l’activité agricole et industrielle intensive, il est urgent de généraliser les technologies en mesure de baisser les émissions et de capter le C02.
L’une des solutions les plus fiables : le développement de l’énergie solaire
Les conclusions de l’ensemble des derniers rapports du GIEC sont identiques : il faut prendre des mesures fortes à grande échelle pour freiner les conséquences du réchauffement climatique. Le comportement des Etats, des collectivités, des entreprises et des individus compte donc énormément dans cette transition.
Le troisième volet du rapport insiste sur les solutions à mettre en place en urgence à l’image du développement des projets photovoltaïques. TRYBA ENERGY ne peut qu’encourager cette initiative écologique et économique, étant lui-même engagé dans cette direction.
Pour rappel, TRYBA ENERGY est spécialisé dans le développement et l’exploitation de centrales photovoltaïques au sol, sur toiture et sur ombrière de parking.
Entreprise appartenant au groupe ATRYA, TRYBA ENERGY est une entité indépendante et innovante depuis 2008 dans le milieu de l’énergie solaire.
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